Dans les allées de ce concept store, dans les rayons de notre librairie… Le détail commence ici. Dans le rituel qui accompagne le choix de notre carnet. Ce n’est jamais anodin de choisir son carnet, celui qui nous accompagnera pendant des mois, des semaines, des années même si l’on a la plume timide ou le crayon sélectif. Celui qui représentera notre marque, et aura pour mission de la graver dans les mémoires.
Jauger sa taille, sa forme, sa couleur… Soupeser, humer… le prendre en main, le découvrir, laisser glisser ses doigts sur sa couverture pleine de promesses, et… mais… sentir sous sa main, tout à coup, du nouveau, de l’imprévu… Un détail qui fait tilt. Le retourner, donc. Ce logo, en relief, comme gravé… une surprise, une empreinte !
Et c’est la magie de l’embossage, laisser une empreinte !
L’embossage ? Un mot barbare pour tout un art.
Pelliculé, il fait briller, met en valeur, se décline en couleurs… devient l’allié des graphistes, des créatifs et des marques.
Gaufré, il a le luxe de la subtilité, de la discrétion sensuelle qui ne se laisse découvrir que par le doigt curieux et patient, la finesse du point qui se savoure quand on a l’amour du détail et la patience de l’original.
L’embossage est un art ancestral qui se transmet de génération en génération dans la société familiale lyonnaise avec laquelle nous collaborons… Transmettre, notre rôle de passeurs, de révélateurs de talents, pour là encore laisser une empreinte. Redonner ses lettres de noblesse à cet art qui a failli s’oublier, de la plus petite série à la grande quantité. Utiliser la subtilité pour personnaliser en beauté, en douceur…
Laisser votre empreinte sur le coffret-même qui contiendra votre différence.
« Le papier » résiste, résiste… et puis le papier s’apprivoise, et le papier collabore.
Et c’est même une fierté de collaborer. Parce que s’adapter c’est apprendre, et dire « oui » aussi.
Nous ne faisons que des carnets vierges pour laisser libre cours à votre imagination débordante, mais aujourd’hui vous avez besoin d’un support innovant pour un texte prédéfini : qu’à cela ne tienne, nos carnets sont les vôtres.
Nous avons torturé notre imprimeur pour qu’il accepte de mettre nos élastiques à l’horizontale, et vous ne jurez que par la verticale ? Qu’à cela ne tienne, s’il le faut, à la verticale il repassera.
Rapports annuels, bilans, assemblées générales, des mots barbares et barbants auxquels vous avez envie de redonner du sens ? Oubliez le papier, pensez objet !
Comme le disait Antoine de Saint-Exupéry : « C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. »
C’est celui que nous passerons ensemble, à créer un carnet personnalisé, votre carnet en somme, qui lui donnera sa valeur.
Nous vous résisterons peut-être un peu, pour apporter notre ton à vos idées… et sans doute pour ne pas paraitre trop faciles à apprivoiser !
Jouer du piano debout, appeler à un acte citoyen… autant de résistances que de résistants. Résister, vaste mot, immense concept… qui nous ramène à notre Histoire en restant pourtant très actuel. Comme le papier, finalement !
Croire encore au papier, le défendre, le sublimer, le créer et le vendre, c’est notre acte de résistance commun. Ouvrir une librairie à l’ère du numérique, un concept store pour défendre la qualité au milieu du consommable, une papèterie quand tout le monde a le monde dans sa poche… voilà de vrais défis, et de vrais combats.
Nous partageons une vision du monde dans le beau, le temps qui s’inscrit, la défense d’un certain art de vivre.
Résister c’est aussi, sans doute, être prescripteur. Découvrir les tendances et non les suivre, apporter un conseil et un service, être là où on ne nous attend pas. En embuscade de la future demande.
Vous le savez, vous le défendez : le papier n’a ni limite ni frontière. Ca tombe bien, « Le Papier » non plus. Présents dans 6 pays, 80 points de vente, nous donnons à chaque résistant les armes dont il a besoin. Du calepin, du carnet, du souple, du rigide, du grand et du petit… nous nous adaptons à la demande et au monde. Nous tester c’est l’adopter, le virus du papier.
Rejoignez les rangs de la résistance, enrôlez vos troupes, devenez soldats de papier !
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« Regarde, ze t’ai fait un dessin ! »
Quel cœur n’a pas fondu en entendant cette simple phrase prononcée par une voix cristalline ?
Des petits doigts potelés qui tiennent un crayon immense, le visage concentré, la langue tirée, le tout dans une position improbable… ce moment, cette image que l’on voudrait graver, et ce dessin qu’on nous offre comme un cadeau précieux… qui sera perdu demain, sans doute, entre une facture d’électricité et la liste des courses.
Les feuilles de papier s’envolent comme les jours et les mois, le temps qui court et ne les rattrape pas. Et les dessins d’enfants, cette offrande, ce « je t’aime », sont une preuve palpable du temps qui passe trop vite.
Le cahier de dessin leur offre un refuge, une maison, comme un écrin. Chaque page qui se tourne est un jour révolu... mais gravé, enfin.
Et si l’enfant commence souvent le sien dans une sorte de période néo-cubiste à tendance déstructurée, on suit page après page la construction de sa personnalité, de son être en devenir. Quand chaque jour est une découverte, un apprivoisement du monde qui l’entoure et dont il apprendra à faire partie jusqu’à en perdre, souvent, cette fameuse « âme d’enfant » qui rend la vie plus jolie. Le cahier de dessin conserve tout cela en lui, comme le secret du temps passé.
C’est le rappel d’échanges mémorables avec des parents dépassés:
« - Regarde maman, mon beau dessin !
- Oh oui ! Mais… qu’est-ce que c’est ?
- Un dinosaure !
- Ah oui, le joli dinosaure ! Et là, c’est aussi un joli dinosaure ?
- Ah non, là, c’est maman ! »
Le cahier de dessin c’est des fous rires, des déclarations, des princesses et des dragons… une candeur en couleur.
Il se rangera dans une bibliothèque parce que l’enveloppe est aussi belle que ce qu’elle renferme est émouvant et précieux. Quelques années plus tard, on le rouvrira avec nostalgie, comme si on redécouvrait un trésor, et on se souviendra que cette jolie ballerine rose à huit doigts était censée être un autoportrait, que cette espèce de chose hirsute violette et rose était un poney, et qu’il y avait un astronaute au fond de nous.
On se souviendra de l’enfant que l’on était, de nos étoiles et de nos rêves. Parce qu’on commence son cahier dans un « quand je serai grand… », et qu’on le rouvre parce que « quand j’étais petit… ».
Et puis, peu importe l’âge finalement ! Enfant ou âme d’enfant…
Dessine-moi tes rêves !
Quelques carnets, calepins, cahiers et agendas personnalisés, imprimés et fabriqués sur mesure.
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Que vous soyez un fin connaisseur de botanique ou bien simplement un amoureux des belles choses, pourquoi ne pas se lancer dans la création d’un Herbier avec votre grand cahier Le Papier ?
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Résistantes, résistants !
Nous vous avons compris ! (En toute modestie et sens de la formule originale)
Nous suivons aujourd'hui nos propres conseils, ne jurons que par le noir et osons les couleurs pop. C'est le printemps du "Papier" à défaut d'être celui des poètes.
Découvrez le petit truc en plus du serial noteur, l'outil indispensable du griffonneur de l'extrême : j'ai nommé Le Stylo!
Des couleurs acidulées, originales, une pour chaque humeur, chaque jour, ou chaque paire de chaussettes. Cerise sur le pompon, des idées de programme notées dessus parce que parfois, quand l'inspiration ne vient pas, mieux vaut aller au cinéma.
Un tracé fin et racé, un design qui fait sentir que l'on tient le bon bout quand on le tient en main, et une encre... noire, évidemment, on ne se refait pas !
Et comme tout le monde a droit à l'erreur, même quand les écrits restent, nous avons décliné cet arc en ciel de supports en crayons à papier... que nous avons appelé très étonnamment : Le Crayon!
Parce qu'il est parfois difficile d'écrire rhododendron correctement du premier coup (et qu'on ne sait jamais quand on aura besoin d'écrire rhododendron dans un carnet, c'est la magie du "Papier").
Le seul défaut de ces stylos... le syndrome de "je les veux TOUS"! Heureusement, comme les puristes le savent, le noir ça va avec TOUS.
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Un objet n’est rien d’autre que ce que l’on en fait. Une intention, un geste, un symbole, un souvenir… Ou tout à la fois. Il ne devient beau que parce qu’on lui en donne l'occasion.
Un agenda en dit plus sur nous que la plupart de nos mots. Il dit nos vies et nos rythmes, nos priorités et nos proches. Il fige le temps, l’offre comme une promesse. Plus que trois dodos, deux, un…
Offrir un agenda c’est offrir l’inaccessible. Offrir le temps qui passe, celui qui reste, celui que l’on a figé dans un mot.
Notre agenda est pensé comme un éventail de possibles, de rendez-vous avec soi-même, avec les autres, ou avec son dentiste. 50 nuances de vie sur "Le Papier".
Se l’offrir comme la récompense des souvenirs que l’on créera… ou l’offrir à l’autre avec les dates qui comptent, et celles qu’il vaut mieux ne pas oublier si on veut éviter un incident diplomatique. On est pas de cette "Trump".
Comme le lapin blanc d’Alice, être en retard ou en avance, sauter de case en case, libéré de la déprime du lundi parce que jeudi il y aura toi. Nos cases sont petites car vos idées sont infinies, et nos vies parfois trop remplies pour distinguer l’essentiel de l'accessoire.
Et pourquoi pas s'y mettre maintenant ? C'est pas parce qu'on a loupé deux mois, qu'il n'en reste pas dix!
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Editions Leduc
76 bd Pasteur
75015 Paris
FRANCE
